Domicile conjugal (1970)

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Antoine Doinel s'est marié avec Christine Darbon, qui donne des leçons de violon. Antoine teint des fleurs dans la cour de l'immeuble où ils habitent. Parmi leurs voisins, on trouve un chanteur d'opéra et sa femme, un séquestré volontaire, une serveuse amoureuse, un homme mystérieux surnommé "l'étrangleur". Antoine change de métier et se fait engager dans une compagnie américaine. Christine attend un enfant qui s'appellera Alphonse. Antoine fait la connaissance de Kyoko, une belle Japonaise avec laquelle il a une aventure. Le torchon brûle au sein du couple Doinel.