Beschreibung
Produktdetails
Regisseur | James Watkins |
Schauspieler | James McAvoy, Mackenzie Davis, Scoot Mcnairy, Aisling Franciosi, Alix West Lefler, Dan Hough, Kris Hitchen, Motaz Malhees |
Label | Universal Pictures |
Genre |
Drama
Horror Thriller |
Inhalt | Blu-ray |
FSK / Altersfreigabe | ab 16 Jahren |
Erscheinungsdatum | 19.12.2024 |
Ton | Deutsch, Englisch |
Untertitel | Deutsch, Englisch |
Produktionsjahr | 2024 |
Originaltitel | Speak No Evil |
Ländercode | B |
Cast & Crew
Schauspieler
Kundenrezensionen
-
Bien sympa !
Le premier, l’original, était assez correct !
Pas politiquement, ça c’est sûr !!!
En français, il avait été traduit par «Ne Dis Rien», alors que la traduction parfaite serait «Ne parlez pas du mal».
Quand j’ai regardé celui de 2022, j’avais la tête de James McAvoy à l’esprit… vu que je savais qu’il jouait justement dans ce remake. Je le voyais assez bien dans les deux rôles masculin, bien que je savais pour lequel il avait indéniablement été choisi.
Ah ! Sacré James !
On sait quand faire appel à lui, en tout cas !
Ceci dit, j’aurai bien vu Javier Bardem aussi dans ce rôle. Mais vu qu’il a déjà terrorisé et traumatisé tout le monde dans No Country for Old Men (2007) et dans Peridita Durango/Dance With The Devil (1997), entre autre, il fallait bien qu’il évite certains rôles !
Ici, une famille américaine vivant à Londres passe le week-end dans la propriété de rêve d’une charmante famille britannique rencontrée en vacances. Dans l’original, c’est en vacances en Toscane qu’une famille danoise se lie d'amitié avec une adorable famille néerlandaise. Il y a d’ailleurs un petit clin d’œil aux danois dans ce film.
Avant de visionner ce film, je me suis demandé «Mais pourquoi faire un remake juste deux ans plus tard ? Pour le rendre encore plus violent ? Ou y ajouter une pseudo-justice ?»
Et je me également suis dit que «cette fois-ci, les américains ont véritablement fait une grosse erreur en rapport à leur égo, que c’était franchement assez clair qu’ils veulent s’approprier les œuvres les plus importantes des autres pays et que c’est dommage, car ils ont vraiment du talent pour faire de bon films originaux. Il faut juste faire un effort pour cela et les réalisateurs n’ont pas toujours envie d’en faire.»
Il va de soit que ceux qui ont adoré la version de 2022 et ont trouvé que c’était un chef-d’œuvre ne vont pas apprécier ce remake et vont crier au «Scandale» !
Pour ma part, je les ai trouvé complémentaire et c’est comme si la même histoire arrivait différemment à deux endroit du globe, en l’occurance à deux endroit en Europe.
Du coup, j’ai préféré cette version, alors que je ne voulais pas vraiment revivre cette histoire, mais je ne l’aurais pas autant aimé sans avoir vu celui qui l’a aidé à être créé.
Ahhhh ! Tous ces remakes !
Funny Games ou Spoorloos (The Vanishing), etc.
Parlons-en un peu vu que Speak No Evil est comparable à ces deux films.
On y retrouve le malaise de Funny Games, bien que Funny Games (1997) et son remake Funny Games U.S. (2008) – tous deux réalisé par Michael Haneke - sont insupportables dès le début. Ces films ont tous le même impact : on n’en ressort pas indemne. On est marqué à vie par ces images et histoires que l’on ne peut plus effacer.
L’autre film dont l’ambiance se rapproche pas mal est évidemment Spoorlos - L'homme qui voulait savoir (1988). Oui, ce film franco-néerlandais qui a été refait en tant que The Vanishing (1993). Le même genre de piège qui se referme, même genre de film sans espoir.
Des détails des 20 dernières minutes m’ont fait penser à Get Out (2017). Forcément !
Mais il y a d’autres films dont les noms m’échappent dans ce genre. -
Suite et fin de ma critique inimitable !!!
Le réalisateur, James Watkins, qui avait fait un épisode de Black Mirror (Shut Up and Dance) a aussi créé «La Dame en Noir (2011)» qui n’avait pas eu de succès, vu qu’il reprenait tous les clichés sur les fantômes qui ont fini par lasser et que Daniel Radcliffe n’y était vraiment pas expressif.
Par contre, les plus sadiques, blasés et tordus d’entrevous avez adoré Eden Lake (2008). J’avais relativement détesté, bien que je l’ai revu une ou deux fois pour les rares détails intéressants qui animent certains de mes débats les plus importants.
Watkins a également été scénariste du film The Descent 2 (2009), alors que le premier suffisait largement.
Ce film anglais tiré du film danois est prenant dès le début. Pas le temps de s’ennuyer. On s’engouffre dans ce cauchemar en même temps que la famille principale. On se pose plein de questions. La plupart du temps, on aurait probablement les mêmes réactions qu’eux…
Mais l’injustice et la malchance prennent le dessus, malheureusement.
On peut y rajouter la faiblesse et la politesse, qui deviennent carrément de la lâcheté.
On découvre ici comment sombrer dans l’horreur et obtenir les pires vacances possible.
Être trop gentil peut certes être très écœurant dans ces situations.
Christian Tafdrup, le réalisateur de l’original, est également acteur et, aussi dur que cela puisse être à croire, il a joué dans une comédie. Alors soit il en a eu marre, n’a pas aimé l'expérience et s’est dit «Plus jamais !!!»
Ou alors il est vraiment capable de jouer sur plusieurs tableaux.
Il a expliqué qu’il avait aussi été invité par des gens qu’ils ne connaissait pas et qui avaient l’air forts sympathiques et bienveillants, mais qu’il a préféré décliner l’offre. Mais il a commencé à imaginer le pire et s’est fait des films et a imaginé tout ce qui pourrait se passer dans une situation comme ça. C’est ainsi qu’il a pondu ses idées.
Ce film, en dehors du fait que ce soit un thriller, nous montre plutôt bien tous les problèmes de communication, notamment les soucis de couples qui rongent. On n’est pas pareil en couple ou en public. On n’est pas pareil avec nos amis ou notre famille. On n’élève pas du tout nos enfants de la même manière. Les enfants ne s’entendent pas tous juste parce que c’est des enfants. Pareil pour les adultes, ils ne sont pas tous fait pour pouvoir communiquer de façon civilisée.
On est nombreux à ne pas exprimer ce que l’on ressent, ce que l’on pense réellement. On choisit tour à tour la couardise, l’hypocrisie, la diplomatie et c’est bien dommage.
À quel point devons-nous nous respecter ?
À quel moment pouvons-nous partir de chez nos hôtes en claquant la porte ? Quels sont nos limites ? Elles sont différente pour chacun, mais ne pas avoir de limite peut rapidement mettre en danger suivant les personnes mal intentionnées avec qui on se trouve.
Pour ceux qui ne trouvent pas que ce film est un Thriller, sachez que tout se trouve dans le malaise de la situation. Dès le début, il y a un piège qui se referme. Un thriller n’est pas forcément un tueur masqué qui se tapit dans l’ombre, qui défonce des portes fermés, qui attache et torture ses victimes. Là, on part directement dans l'horreur. Ce n’est pas non plus forcément un tueur en série qui a l’air d’un tueur en série. Bref !
On va pas faire de l’explication de genre et de sous-genre.
Chacun peut faire des recherches (s’il en a envie, bien sûr !) sur le cinéma et son histoire et en tirer ses propres conclusions.
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