Description
Product details
| Director | Todd Phillips |
| Actor | Joaquin Phoenix, Lady Gaga, Brendan Gleeson, Catherine Keener, Steve Coogan, Zazie Beetz, Ken Leung, Harry Lawtey |
| Label | WARNER BROTHERS |
| Genre |
Drama
Crime Musical Thriller |
| Content | DVD |
| Publication date | 16.12.2024 |
| Audio | English |
| Screen | Widescreen |
| Year of production | 2024 |
| Original title | Joker: Folie à Deux |
| Version | UK Version |
| Region code | 2 |
Cast & Crew
Actor
Joaquin PhoenixCustomer reviews
-
nah
not my thing
never like villains
bad made movie
bad acting -
hell no
hell no
Batman's enemy supposed to be dead. according to the animation movie. -
Une œuvre magistrale qui redéfinit le cinéma
"Joker: Folie à Deux" transcende toutes les attentes et s'impose comme un chef-d'œuvre cinématographique qui ne se contente pas de raconter une histoire : il en fait une expérience sensorielle et émotionnelle unique. Todd Phillips réussit l'exploit de proposer une suite qui non seulement s'inscrit dans la continuité du premier volet, mais qui explore de nouvelles dimensions, audacieuses et captivantes.
Un duo prodigieux : Joaquin Phoenix et Lady Gaga Joaquin Phoenix livre une performance encore plus nuancée, où l'humanité torturée de son personnage atteint des sommets d'intensité. Mais c'est Lady Gaga qui surprend le plus : son interprétation d'Harleen Quinzel/Harley Quinn est à la fois fragile, puissante et profondément émouvante. Ensemble, ils forment un duo magnétique qui éclate à l'écran, capturant à la perfection l'amour dysfonctionnel et la folie qui les lie.
Une mise en scène audacieuse Le choix d'intégrer des éléments de comédie musicale est un pari risqué, mais Todd Phillips le transforme en génie pur. Les séquences chantées et dansées ne se contentent pas d'être esthétiques : elles plongent le spectateur dans l'esprit fracturé des personnages. Chaque numéro musical est une œuvre d'art en soi, oscillant entre le sublime et le dérangeant.
Un scénario riche et poignant Le film ne se limite pas à la folie et au chaos. Il explore des thèmes profonds comme l'amour, la solitude et la quête d'identité. L'écriture est d'une rare finesse, offrant des dialogues mémorables et des scènes d'une puissance émotionnelle inégalée. Le parcours des deux protagonistes devient une métaphore bouleversante des liens toxiques et de la recherche désespérée d'un sens dans un monde indifférent.
Une esthétique hypnotique La photographie de Lawrence Sher est absolument sublime. Chaque plan est soigneusement composé, jouant sur des palettes de couleurs contrastées qui reflètent l'état psychologique des personnages. La ville de Gotham est plus immersive que jamais, à la fois majestueuse et oppressante, un véritable personnage à part entière.
Un message universel Au-delà de ses aspects visuels et narratifs, "Joker: Folie à Deux" est une réflexion sur la condition humaine. Il pose des questions sur la santé mentale, la société et les limites de l'empathie. C'est une œuvre qui reste gravée dans l'esprit bien après le générique de fin.
Conclusion : un film incontournable "Joker: Folie à Deux" n'est pas seulement une suite réussie : c'est une expérience cinématographique révolutionnaire. Avec des performances d'acteurs à couper le souffle, une mise en scène audacieuse et un scénario d'une profondeur rare, ce film s'impose comme un classique instantané. Une œuvre qui marquera l'histoire du cinéma et le cœur de tous ceux qui la vivront. -
Ich verstehe den Hass nicht
Der Film hat seine Probleme (Entmystifizierung von Teil 1, Nerviges Gesinge in den falschen Momenten). Aber als eigenständiger Film, losgelöst von den Comics funktioniert er überraschend gut. Aber ich kann schon verstehen, dass Fans der Comics, die sich auf eine werkgetreue Joker-Version gefreut haben, sehr enttäuscht waren von diesem Film. Man darf aber nicht vergessen, wie meisterhaft dieser Film inszeniert ist (Kamera, Ton, Szenenbild). Und er macht eine Sache, die ich in der heutigen Filmwelt vermisse: Er BEENDET eine Geschichte. Egal ob kontrovers oder nicht, ist dies erfrischend gegenüber vielen grossen Franchises, die ewig gemelkt werden.
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Flop ohne Limit
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passt
ein melodramatisch-langweiliges tränendrüsengschichtli aus dem comic-universum.....passt überhaupt nicht! eine weitere filmgurke im filmschrottjahr 2024.....passt!
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Im Vergleich zum Vorgänger sehr enttäuschend
Plötzlich soll der Anti-Held Joker nicht mehr der Joker sein (sondern der Typ im Hintergrund, zum Schluss des Filmes im Gefängnis-Korridor)? echt jetzt? Zudem rauben die ständigen Musicals-Gesangseinlagen jede Spannung, Emotionen und Glaubwürdigkeit/Ernsthaftigkeit. Auch schauspielerisch nicht sonderlich auffallend. Sehr schwach für das Mega-Budget. 4 von 10 Punkten!
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sick crazy bad movie
hell 2 the no bad acting lady gaga, kinda bad joaquin phoenix
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Leider
enttäuschend...
-
Bon... Bah...
Hello tout le monde !
Toujours content de retrouver Rafi, Clad & Manu ^__^
Je pourrais dire un classique petit «Autant le premier est bien, autant celui-ci est nul !», mais ça… c’est juste pour les gens qui n’ont rien à dire et qui se croient réellement très intelligents !
Je vais tenter de ne pas juste faire un «J’ai aimé» ou «J’ai pas aimé».
Allez, c’est parti !
Ce film est classé sous pas mal de genre, à ce que je vois !
Drame, Policier, Musical, Thriller…
Donc… un Thriller dramatique musical policier qui n’a pas d’action, ni de science-fiction, alors que l’on parle bien du plus grand ennemi de Batman ?
Non, effectivement, si j’avais écrit ma critique juste après avoir vu le film, je l’aurais descendu. Mais là… j’ai laissé un peu mûrir… réfléchir…
Au début, j’étais dérangé, voire choqué quand des films n’était pas fidèles aux Comics ou au Dessins Animés. Mais j’essaie de lâcher du lest, d’être plus ouvert, moins blasé. C’est tout un effort et tout un travail, certes. J’ai bien compris qu’on pouvait avoir plusieurs visions – non dénué d’intérêts - de ces univers que sont DC et Marvel. De toutes façons, aucun film ou série n’est vraiment capable de montrer toute la complexité du monde des super-héros, malgré les efforts. Surtout quand c’est l’argent qui prône ces franchises.
J’aurais pu être juste déçu, dire qu’il est moins bien. J’aurais été très surpris par ce côté Musical si je n’avais pas déjà été prévenu. Joaquin Phoenix & Lady Gaga restent de très bon acteurs dans ce film. Et d’excellent chanteurs ! Il y a même une reprise de Jacques Brel en anglais.
Mais il y trop de baisers entre eux et ils fument trop de cigarettes !
J’en reviens pas que j’écrive ça !
J’avoue que ça m’a toujours troublé de voir que Netflix annonce qu’il y a de l’alcool, de la violence, de l'ultraviolence, du sexe… mais je ne comprenais pas que parfois il y ait la mention «cigarette» ! Et pourtant, je me suis senti offensé, envahi, étouffé, dérangé par toutes ces cigarettes dans ce film. Comme quoi… cela peut arriver même à moi !!!
C’est comme si c’était tellement savoureux et addictifs de fumer ces fausses cigarettes hollywoodiennes que Joaquin & Gaga avaient dit : «On ne signera pas si on ne peux fumer à chaque scène ! Plutôt mourir !!!»
Cela m’a fait très plaisir de voir Steve Coogan, même le temps d’une scène. Quel légende, ce mec !
Par contre, je n’ai jamais été fan de Catherine Keener. Rien à faire !
Bon, c’est pas comme si je la détestais au point de me lever du cinéma à peine l’avoir aperçu… mais c’est une actrice qui ne m’a jamais impressionné ou hypnotisé.
Joker 2 a pris des risques. Il a voulu faire très différent du premier, tout en y faisant des clins d’œil, comme les retours aux escaliers. Ce film est très profond, mais aussi très sombre, ultra noir et vraiment déprimant. Il se passe essentiellement en prison et dans les tribunaux. Il y a des scènes artistiques qui deviennent ridicules. Comme la plaidoyerie, qui était une bonne idée à la base, mais qui ne passe pas vraiment. Pas avec un juge comme ça ! La fameuse phrase «Je ne permettrais pas que l’on fasse de mon tribunal un cirque» n’est pas vraiment bien exploité, même s’il y avait de l’idée.
Les clowns sont beaucoup plus cools, sympas et ouverts. Ils ne disent jamais, eux : «Je ne permettrais pas que vous fassiez de mon cirque un tribunal», même s’ils doivent le penser fort !
La dernière scène du film comporte un arrière-plan qui est très important en ce qui concerne la suite. Oui, car Joker est censé être une trilogie. Hélas, on sait déjà que pas mal de gens ne vont même pas lui laisser sa chance, car je constate que ce film s’est pris une sacrée volée de critiques négatives.
Alors je n’ai pas adoré ce film, loin de là. Mais je ne peux pas lui enlever tout ce qu’il représente, tout le travail qu’il a demandé et le courage qu’il a fallu pour le présenter, sachant que c’était du quitte ou double.
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